Art of murder : the secret files

Développeur : City interactive.

Éditeur : Micro application.

Année de sortie : 2011.

Plateforme : PC.

Classification PEGI : 12.

Nouvel opus de la série « Art of Murder », le quatrième mais dans une version de jeu de type « objets cachés ». Vous interprétez toujours l'agent du FBI Nicole Bonnet qui pour cette enquête se retrouve au Mexique. Le professeur Brenner, un chimiste, vient d'être kidnappé par un cartel de la drogue ; votre mission est de le retrouver au plus vite...

Les graphismes sont de qualité, avec un air familier ; je reviendrai sur cela plus tard. Les deux seules cinématiques, au début et à la fin de la partie sont bien faite. Pour progresser dans votre périple vous devrez résoudre des « tableaux » d'objets cachés en temps limité ainsi que quelques énigmes sans grandes difficultés. Des imprécisions dans la dénomination de certains items sont à noter dans le premier type d'épreuve.

Vous avez la possibilité de récolter des « horloges » pour bénéficier de suppléments d'indice ; au cas où vous ne trouveriez pas tous les objets dans le temps imparti. Comme dans les épisodes précédents vous aurez à utiliser du matériel spécifique pour recueillir et analyser les indices trouvés. Le jeu ne présente aucune complication ce qui lui donne une durée de vie très courte.

Un épisode beaucoup moins dense et abouti que les précédents numéros avec ce changement de gameplay, dommage. On termine ce jeu en très peu de temps ; pour les inconditionnels de Nicole Bonnet uniquement.

N.B : les concepteurs se sont un peu emballé sur les configurations nécessaires inscrites sur la boite en indiquant : environ 4,5 Go d'espace disque disponible.

Je revient sur le sentiment de « déjà vu » que j'ai eu en faisant ce jeu. J'ai donc cherché dans mes archives et je suis tombé sur cette image :

Elle est extraite du jeu «  Chronicles of mystery : le rituel du scorpion  » . Je vous laisse juger par vous même de la forte ressemblance avec une des image tirée de cet épisode et je vous l'inverse pour le plaisir.

Il semble que l'on recycle chez City interactive.